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Retrouvez moi au Théâtre des Variétés à Paris dans Sacré Pan dans les rôles du Capitaine Crochet, Mr Darling et Lorenzo dans une mise en scène de Gwen Aduh et une adaptation de Miren Pradier et Gwen Aduh.


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Sortie mercredi 6 du film avec Olivier Gourmet et Marina Foïs, j'y fais une brève apparition


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Le dîner de cons :




LE DÎNER DE CONS// LE GRENIER THÉÂTRE



LES BOULETTES DE PIGNON

publié le 06/06/2018
(Le Grenier Théâtre)




C’est chose réglée pour cette saison et attention, ça ira vite pour la suivante : au Grenier Théâtre, la compagnie Cléante peut s’attendre à jouer à guichet fermé. Pourtant, rien n’était gagné, l’efficacité d’un texte ne fait pas tout, d’autant que ce grand classique du boulevard ne va pas sans son joyeux cortège de fantômes. Qui veut monter Le Dîner de cons affronte une difficulté de taille : il faut trouver son con. Et tout talentueux qu’ils soient, bien des comédiens en feraient de mauvais. Ce personnage engage une certaine aptitude à disparaître, une humilité de jeu, une palette burlesque qui ne passe jamais en force – autant de traits de caractère et de qualités d’interprétation qui font de Denis Rey ce « con de classe mondiale » tant désiré par Pierre Brochant, alias Alain Dumas.

« Y’a des allumettes au fond de [s]es yeux » (Higelin)
Si le naïf maquettiste est un rien tête en l’air, le mot semble finalement mal choisi : con, François Pignon l’est peut-être moins que les autres. Au sens de Brassens en tout cas. Sacré con(nard), en revanche, que ce Pierre Brochant, Don Juan cynique cherchant à proposer à des convives le plus candide et passionné des pigeons ; un demi-con, sans doute, que ce Juste Leblanc restant sur les lieux pour le seul plaisir de se fendre la poire. Un méchant con, enfin, que le jubilatoire Cheval, contrôleur fiscal hérité du comique de caractère, et qui sera sanctionné de la manière la plus traditionnelle qui soit. Mais n’allons pas, comme disait l’autre, nous perdre en conjonctures sur la nature des cons.
Il y a boulevard et boulevard, on n’en démordra pas. La recette fonctionne depuis des siècles, Francis Veber s’y entend comme pas deux pour enchevêtrer les situations, créer rebonds et complications à partir de données initiales bien choisies. Un petit temps de chauffe pour présenter ces données, puis la mécanique passe son premier cran et dès lors, l’ensemble roule sans gripper, prend en volume, l’engrenage comique étant si efficace qu’il ne nécessite « que » l’huile d’un jeu réglé. Pas si simple, pourtant. Un véritable poids que de passer après les acteurs que l’on sait, certains récompensés par un César, et tous immortalisés dans des scènes désormais culte. La bonne idée, déjà : en terme d’incarnation, s’éloigner des références télévisuelles, contourner la comparaison. Alain Dumas, qui monte joliment en puissance à mesure que son personnage s’empêtre dans son imbroglio, fait sans peine oublier Thierry Lhermitte. Laurent Collombert, à la direction, a su exploiter la palette, l’apport de chacun dans l’équilibre du tout. Ce sont les rires de Juste Leblanc (Samuel Mathieu), spectateur de cette comédie et double du public, ou encore la tension instillée par l’arrivée de Cheval (Marc Compozieux), qui ouvrent des respirations dans ce délicieux duo de caractères formé par Denis Rey et Alain Dumas. Seul regret, hélas inhérent à l’écriture de Veber : Angélique Infante et Anne-Sophie Delahaye sont moins bien servies, avec des partitions fugitives et pour le coup, assez datées. Ce qui ne devrait pas gâcher le plaisir d’un public majoritairement acquis au texte, mais curieux de mesurer le défi qu’il y a à le jouer.

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Manon Ona









Francis Veber / Laurent Collombert
Avec Alain Dumas, Denis Rey, Samuel Mathieu, Marc Compozieux, Richard Vergnes, Angélique Infante, Anne-Sophie Delahaye, Philippe Canizarès (en alternance)
Régie son/lumière : Erwan Guillou
Décors : Olivier Hébert et Annie Giral

© Mona

Du 5 au 9 juin 2018
Le Grenier Théâtre













Actu posté le 2018-06-07 17:36:17 :

Le dîner de cons de Francis Véber :

http://www.lecloudanslaplanche.com/le-diner-de-cons/


Actu posté le 2017-12-22 11:20:20 :

Tournages :

je viens de tourner dans trois longs métrages :

Les vieux fourneaux de Christophe Duthuron avec Alice Pol, Eddy Mitchell, Pierre Richard et Roland Giraud.

Les Municipaux avec Éric Carrière, Francis Ginibre, Bruno Lochet Lionel Abelanski.

Intime conviction d'Antoine Raimbault avec Marina Foïs et Olivier Gourmet


Actu posté le 2016-09-17 18:02:45 :

Ma bande démo :

Ma bande démo est enfin disponible sur youtube : https://www.youtube.com/watch?v=bQYsp3rK750


Actu posté le 2015-11-24 10:14:17 :

diffusion du film Le mari, la femme, le cochon et l'amant :

Première diffusion du film: le Mari, la femme, le cochon et l'amant dans l’émission MICKROCINE le dimanche 29 novembre à 22h30 sur Canal+ Cinéma.
Multi diffusée pendant une semaine et accessible sur le blog des programmes courts:
http://www.canalplus.fr/c-infos-documentaires/pid5672-blog-programmes-courts.html


Actu posté le 2015-11-20 14:05:27 :

Article de Gilles Costaz sur l'Univers démasqué... :

Critiques / Théâtre
L’Univers démasqué... ou presque de Bénédicte Mayer

par Gilles Costaz
Big bang chez Magritte

Désormais orienté vers la science par sa directrice Elisabeth Bouchaud, le théâtre de la Reine blanche présente, parmi ses différents spectacles, une pièce tout à fait insolite qui trace une passerelle entre l’art et la recherche scientifique. Bénédicte Mayer imagine la rencontre de deux grandes personnalités : le peintre surréaliste René Magritte et l’inventeur de la théorie du Big Bang, Georges Lemaître (un oublié, auquel on doit une explication du monde adoptée par le monde entier). Ce Lemaître est, comme Magritte, de nationalité belge et avait la particularité d’être ecclésiastique ; c’était un curé cosmologiste. Les deux hommes ne se sont jamais rencontrés mais, par la grâce de Bénédicte Mayer, c’est fait, d’une manière romanesque. On sonne un jour à la porte de Magritte, à Bruxelles. Entre un prêtre en soutane qui demande à l’artiste de lui faire son portrait. Magritte mettrait bien cet intrus dehors, mais celui-ci tient des propos tout à fait intéressants. Il parle de l’atome, des mystères de l’univers et de l’être humain, d’un monde toujours en expansion. Magritte et sa femme Georgette en sont surpris et même changés. Magritte refuse de faire le portrait, il ne veut pas s’exprimer par le réalisme, l’apparence première (qui sont aussi la bête noire du visiteur) et il se décide à le figurer en … pomme. Les deux hommes se revoient et se rejoignent dans une fête de l’esprit où s’ouvrent les portes de la cosmogonie et de la philosophie moderne.
C’est une fantaisie grave qu’a écrite Bénédicte Mayer. On n’y a pas peur de la théorie, de la formule eschatologique ! Mais on n’y perd pas le sens de l’humour, dans la foulée de Magritte qui jouait avec les formes mais aussi avec les mots (« Ceci n’est pas une pipe »). L’idée est originale et le texte savoureux dans sa façon partageuse de traiter de thèmes difficiles et d’inventer des situations incongrues. La mise en scène de Stéphanie Lanier s’amuse avec bonheur à introduire des distorsions esthétiques, des changements chromatiques et des gags culturels autour de personnages saisis par le sérieux de leurs dires et sans cesse caressés par la circulation des facéties. Alain Dumas est un Magritte fort plaisant, en qui la vie bourgeoise est sans cesse traversée par l’interrogation profonde et le goût de saisir le sel de toute chose en tout instant. Aussi habilement, Régis Santon fait de ce curé Lemaître un personnage à la présence abrupte, bourru et attachant, accaparé par ses passions, absent et présent, opaque et clair à la fois. Les deux comédiens réussissent à créer deux êtres qui vivent dans des deux planètes différentes et se rencontrent néanmoins. L’auteur, Bénédicte Mayer, s’est réservé le rôle modeste de la femme de Magritte, Georgette, et introduit subtilement les notes de quotidien qui contrebalancent la nature aérienne de ce duel au sommet. Un régal d’intelligence.

L’Univers démasqué… ou presque de Bénédicte Mayer, mise en scène et scénographie de Stéphanie Lanier, décor de Nicolas Thers, lumière de Nicolas Simonin, musique d’Olivier Gavignaud, avec Alain Dumas, Bénédicte Mayer et Régis Santon.

Théâtre de la Reine blanche, les mercredi et vendredi à 21 h, tél. : 01 40 05 06 96, jusqu’au 4 décembre. (Durée : 1 h).

Photo DR.


Actu posté le 2015-11-20 14:01:05 :

Article de Gilles Costaz :

Voici l'article de Gilles Costaz sur l'Univers démasqué...Ou presque
http://www.webtheatre.fr/L-Univers-demasque-ou-presque-de


Actu posté le 2015-11-05 11:09:18 :

Article de presse pour l'Univers démasqué... :

https://lnkd.in/d9HFn9f


Actu posté le 2015-10-23 15:13:06 :

L'Univers démasqué...Ou presque. :

Je reprends la pièce l'Univers démasqué... Ou presque. Je joue le rôle de René Magritte
Au Théâtre la Reine Blanche 2 bis passage Ruelle 75018 Paris.
Les mercredis, vendredis, à 21 heures et les dimanches à 17 heures. allez voir sur le site de la compagnie
www.lacheveluredeberenice.fr


Actu posté le 2015-09-11 18:00:00 :

Nouvelle Vidéo de théâtre :

Vous pouvez découvrir la bande annonce de "L'Univers démasqué... Ou presque" sur la page théâtre du site


Actu posté le 2015-07-19 11:07:01 :

Stage caméra niveau 2 Alain Prioul :

Fin de stage très enrichissant avec Alain Prioul et replongeons dans les textes des pièces rejouées à la rentrée à savoir :
En attendant Godot, Nuit Blanche chez Francis et l'Univers démasqué... Où presque, quand René Magritte rencontre le père du Big Bang.


Actu posté le 2015-06-01 17:28:41 :

Le mari, la femme, le cochon et l'amant :

Fin du tournage du film de Jacques Mitsch bientôt sur Canal + ...
Le lien du site : http://www.cochongarou.com